Manipulation, intox, voire infox, voilà ce que l’on peut retenir des faux bruits ayant circulé hier tard dans la soirée à l’issue de l’atelier de validation du rapport des données de l’EFTP du Ministère de la Formation Professionnelle et Métiers (FPM), et dont l’objectif était de nuire et saboter le travail titanesque réalisé jusque là par Antoinette KIPULU KABENGA, patronne de ce ministère.
Ces rumeurs ont fait état d’un détournement imaginaire des frais de perdiems des participants à cet atelier. Ce qui a été à la base de l’emballement des réseaux sociaux sur base des faux bruits entretenus par des personnes mal intentionnées.
L’intention de ces conciliabules est de nuire à la réputation de la Ministre de tutelle, qui depuis son arrivée, a posé des jalons sur lesquels reposent désormais ce secteur.
Vu l’intérêt que la rédaction accorde à la formation professionnelle de la jeunesse en particulier et de la population congolaise en général, elle n’a pas tardé de recourir à la source pour avoir l’autre son de cloche sur ce qui a été réellement fait dans l’organisation de cet atelier d’une importance capitale pour ce ministère et pour le pays tout entier.
Que faut-il retenir de cet atelier?
L’ étude (enquête) encadrée par l’expertise de l’EFTP bénéficie du financement de la Corée du Sud, évalué à plus de 70 milles dollars, gérés par l’organe technique l’UNESCO. Toutefois, après la réalisation de cette étude, dans ses différentes étapes, le Ministère de la Formation Professionnelle et Métiers a accepté la co-organisation de l’atelier de validation pour l’intérêt général de la RDC.
Après investigations, votre rédaction a découvert qu’aucun rond n’a été donné au Ministère pour organiser cette activité. L’UNESCO a pris en charge ce qu’elle pouvait, mais concernant l’organisation pratique, la ministre KIPULU KABENGA a accepté de la prendre en charge.
« C’est vrai, il y a eu des prévisions minimalistes qui lui ont été soumises, c’est vrai aussi que le Ministère n’a pas beaucoup de moyens ».
Voilà pourquoi le Ministère a pris en charge sur base du standard international les rubriques telles que le perdiem estimant que tous les experts conviés ont conscience que c’est pour l’intérêt supérieur de la nation qu’ils travaillent et qu’ils ont travaillé sans relâche pendant ces deux jours d’atelier.
A ce sujet, il y a une grande communication qui a été véhiculée autour de cet atelier, a l’instar de la retransmission en direct pendant ces deux jours du déroulement de ces assises, l’objectif étant de vulgariser les statistiques liées à l’éducation.
C’est pourquoi Mme la Madame s’est impliquée dans ce domaine qui détermine une bonne exécution de la politique d’enseignement et de formation technique et professionnel.
Le risque est que certaines décisions en rapport avec la gestion de ce secteur pourraient être mal orientées faute d’indicateurs fiables, nous précise la même source proche de la ministre Antoinette KIPULU KABENGA.
Certaines indiscrétions indiquent que Mme la ministre de la FPM a voulu inscrire son intervention dans le respect des principes d’orthodoxie dans la gestion des finances du cabinet tout en restant juste, dans la rémunération de tous ces experts qui ont abattu un travail de qualité.
Ce qui se cache derrière ces faux bruits des détournements, est qu’il s’agit d’une main noire qui s’est introduite dans ce forum hautement scientifique pour saper l’image de cette brave Ministre du gouvernement Jean Michel SAMA LUKONDE KŸENGE, à qui le Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a placé toute sa confiance pour le relèvement du secteur de la Formation Professionnelle et Métiers, lequel constitue son cheval de bataille.
Pas plus tard que ce même mercredi, devant les jeunes regroupés au palais du peuple, le chef de l’État, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, a loué avec une expression on ne peut plus claire, le courage et les prouesses de cette digne fille du Grand Bandundu depuis son avènement à la tête de ce Ministère. Et ce, au regard du travail abattu sur l’ensemble du territoire national pour redorer l’image de marque de ce sous secteur de l’éducation nationale.
L’engagement et la détermination active de celle qu’on appelle aujourd’hui la Jeanne d’arc Congolaise ont été aussi épinglé par le vice premier Ministre, Ministre de la Fonction publique Jean PierreLihau qui s’avère être le président de la commission socio-culturelle où elle siège.
Ne dit-on pas que les bonnes actions et les personnes les plus engagées ne devraient-elles pas être encouragées au lieu d’être livrées aux gémonies des cabales montées de toute pièce pour des raisons infondées ?
Qu’à cela ne tienne, Antoinette KIPULU KABENGA continue son combat. Un peu comme l’aigle qui majestueusement monte ci-haut que la bave du crapaud ne l’ atteindra jamais.
Cellule de Communication du Ministère de la Formation Professionnelle et Métiers
